Helene Risterucci

Helene RISTERUCCI

Clown, Intervenant, Pédagogue

Après un cursus universitaire à la Sorbonne Nouvelle, en Art du Spectacle, elle se forme au Théâtre du Samovar (pédagogie Jacques Lecoq) et se concentre sur le travail du clown avec Catherine Germain, Jos Houben, Cédric Paga, Gabriel Chamé, Hervé Langlois, Ami Hattab. 

Ces dernières années, elle a travaillé avec François Cervantes, Michel Dallaire et Éric Blouet. 

Elle aborde aussi le travail de la marionnette avec François Lazaro et le « Clastic Théâtre », et pratique la cascade burlesque.

Co-fondatrice de la Compagnie Canon, elle explore à travers ses spectacles l’univers de la femme/clown et ses débordements («Kabaret Prozak» mise en scène Philippe Martz, « Amuse-Gueule » mise en scène Hélène Gustin, « Les Glotte-Trottoirs », « Serial Tulleuses » collaboration artistique Alain Gautré). Elle travaille également avec la Compagnie Adada dans le spectacle de rue « Epopée », avec la Compagnie Obrigado, avec qui elle crée 3 comédies burlesques jeune public, et pendant 4 ans dans le spectacle « Coeurs Croisés » de la Compagnie DCA (Philippe Decouflé) en tant qu’artiste burlesque sur patin à roulettes.

En 2014 elle crée le duo de clown « MurMur » en collaboration avec Olivier Blond.

En 2016 elle rejoint la Compagnie Numéro 8, et joue dans « Garden Party », une farce, féroce et grotesque sur la haute bourgeoisie.

Elle crée son solo clownesque « Rien sans Mâle » en 2019.  

Pour l’audio-visuel, elle tourne en Corse pour Stella Production « Ghjuvà est mort ! » un film de Gérôme Bouda et pour Corsesca Services « La vitesse de l’amour », réalisé par Pierre Dieulafait. Elle tourne aussi avec les Films du Chat d’Oz, dans « Les rêves du plongeur », court métrage réalisé par Olivier Poisson.

Pour le doublage, elle prête sa voix pour le personnage d’Adrienne dans la websérie « Poubelles, la vie », produit par les Tontons Filmeurs.

Parallèlement, elle intervient depuis 2009 comme professeure de clown à l’École du Samovar et depuis 2014 elle est référente clown pour le projet « De l’Ecriture à la Scène » pour la Scène Nationale de Sénart.

France

Personne


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Prendre conscience de son corps et de son envergure dans l’espace, de sa propre musicalité: « moi » dans l’espace et « moi » et les autres.

Mais aussi autour des états, des éléments, des émotions, des gammes, du rythme. 

L’exploration des outils d’expression (drame, chant, mots automatiques, gromlo, jouer à, travail autour du costume…) aura une place importante pour la construction du jeu clownesque. 

Et toujours repasser par l’écoute de soi et du partenaire. Avec sincérité, être dans le plaisir de jouer. 

Toutes ces techniques sont au service du jeu et permettent une écriture spontanée au plateau. Le jeu et l’improvisation ça se muscle!

Nous allons faire sérieusement, des choses pas sérieuses…

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